Comme vous l'avez compris, ce film est à la source de notre inspiration... Aussi avons-nous voulu lui rendre hommage en postant cette bande annonce. Nous vous engageons vivement à aller voir et revoir ce film qui présente les pérégrinations d'un homme passionné et ambitieux!
Nous avons beaucoup ri, nous nous sommes aussi identifiés parfois mais au final ce n'est que du plaisir et de l'émotion pure!
Film 1 : La vache et le prisonnier (1959 - Henry Verneuil)
Il existe des films que l’on
connaît et que l’on aime, sans même s'en rendre compte… Ces films qui
représentent des choses pour nous, et qui ne peuvent être mis de côté… Surtout
lorsque l’on parle d’Art vache… Surtout lorsqu’on aime et qu’on est
passionné par les vaches. Il est apparu comme une évidence pour nous de vous
parler du classique La vache et le prisonnier (même si vous le connaissez sûrement).
La vache et le prisonnier c’est
ce film qui raconte l’histoire (vraie) de Charles
Bailly en 1943. C’est un prisonnier de guerre français, qui est affecté aux
travaux des champs dans une ferme dont le patron est mobilisé sur le front
russe. Il décide de s'évader pour rejoindre la France. Au grand jour, revêtu de
son costume de K.G, en tenant une vache, Marguerite ; la corde d'une main,
un seau de lait de l'autre. L'idée n'est pas mauvaise, car nul ne s'inquiétera
de ce paisible couple qui semble se déplacer d'une ferme à l'autre.
Produit par Henry Verneuil en décembre 1959, initialement en noir et blanc (re-coloriser en mai 1990), c’est un chef-d’œuvre qui enregistrera 8 millions d’entrées. Après «tant» d’années, toujours rythmé par les pas de vache, et des musiques merveilleuses, il ne perd pas de sa puissance.
Rempli de tendresse, d’humour et de fraicheur, qui se rependent grâce à l’interprétation de l’un de nos plus grands comiques, Fernandel, on apprend à voir la vie avec optimisme et sans regrets.
Un lien de tendresse et d’amour
se développe entre Fernandel et Marguerite qui ont réellement partagés 200 km à
pieds. On en rêve tous… Et peut-être que si l’on travaille assez, que l’on s’investit
assez, un lien aussi fort se développera entre Inca, Maya et nous…
Ah La vache et le prisonnier, un grand classique qui ne cessera de m'émerveiller...
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